Ne pas nuire à autrui.

Humain souverain

Etre libre et souverain, sortir de la matrice, avoir les bonnes infos

Le dévoiement des femmes

Ces derniers jours (j’écris ceci le 7 mars 2024), j’ai été viscéralement et profondément choquée et atterrée, pas seulement par l’introduction du « droit » à l’IVG dans la constitution mais par la propagande gouvernementale, la récupération politique, la mise en scène du plus mauvais goût, grotesque, hyperbolique sur fond « d’événement historique », « la France pionnière dans le monde » et la jubilation des femmes devant la facilité « augmentée » de tuer la Vie en elles.

Les femmes, gardiennes de la Vie, de l’amour, de la maternité, de la famille, sautaient de joie au Trocadéro en s’appropriant encore un peu plus un corps qui n’a jamais été exclusivement le leur. On a atteint le fond des fonds et ma honte d’appartenir à cette gent a atteint son paroxysme.

On est en plein délire luciférien mais les Françaises, toujours aussi inconscientes, frivoles et victimaires, applaudissent et donnent leur consentement, en servant d’idiotes utiles au génocide programmé de leur propre race.

C’étaient des moments et des images particulièrement insoutenables, tristissimes, surréalistes qui m’ont sérieusement donné la nausée et remué les tripes.

Le lendemain, pendant ma promenade dans la nature, sans crier gare, les larmes se sont mises à couler. Je me suis assise et me suis laissée aller au pied d’un chêne, arbre des druides, sous sa bienveillante protection. J’ai demandé pardon pardon pardon aux âmes, aux bébés que j’entendais hurler et pleurer à cause de cette mentalité de la gratification personnelle des femmes dévoyées qui ne savent plus qui elles sont.

Elles sont devenues folles et cette folie remonte à la blessure et à la chute du Féminin sacré et à l’éradication du culte de la Déesse.

Les femmes et le pouvoir

Dans mon article sur la féminisation des noms de métiers, j’avais écrit :

Ce n’est pas en féminisant des mots que [les femmes vont récupérer leur pouvoir] car c’est beaucoup plus difficile que cela ! Les femmes vont devoir tout donner, tout perdre pour authentiquement récupérer leur pouvoir car le pouvoir est quelque chose qui se prend. Même si des hommes prétendent, et c’est tout à leur honneur, vouloir le partager, le processus même de réappropriation est un apprentissage dont aucune femme ne pourra faire l’économie. Se battre pour son pouvoir, c’est déjà l’exercer.

Exercer son pouvoir, pour une femme, signifie prendre sa place spirituellement, celle qui nous a été interdite et spoliée par les religions abrahamiques.

Dans le même article, on lit :

Posons-nous la question : pourquoi les femmes ne s’accomplissent-elles plus dans leur rôle nourricier de mères, d’épouses, de piliers du foyer, du grenier (ancêtre des banques avant l’invention de l’argent) qui donnent leur force à leur époux et à leurs enfants pour construire les fondations d’une société saine, solide et affectueuse ?

La souffrance que les femmes ont endurée depuis l’arrivée des religions abrahamiques est purement et simplement indescriptible. Il faut comprendre que leur nature profonde a été sauvagement broyée, éradiquée et proscrite. Le trauma que chaque femme et que l’inconscient collectif féminin portent est proprement inimaginable. Les femmes sont les êtres, sur cette planète, qui ont été les plus attaqués. Ce ne sont pas les Juifs. Ce ne sont pas les Noirs. Ce sont les enfants et les femmes.

Ayant été dépossédées de leur essence, menacées de mort, brûlées, noyées, enterrées vivantes, terrorisées, persécutées par le régime vatican pour être ce qu’elles étaient, les femmes de l’ère judéo-chrétienne ont dû recourir à maints stratagèmes et mécanismes pour survivre. Haïr leur utérus, leurs règles, l’enfantement douloureux, avoir honte de leur désir et de leur plaisir sexuels mais surtout réprimer leur spiritualité, leur intuition, leurs dons oraculaires, leur savoir ancestral de guérisseuses, leur souveraineté et toutes les autres technologies divines dont elles étaient les maîtresses et seules détentrices ont été les moyens de « ne pas devenir folles » compte tenu de l’ahurissante brutalité qu’elles subirent et subissent encore aujourd’hui (le plaisir sexuel que les femmes prennent aujourd’hui est de la rigolade comparé au pouvoir magique que leur yoni détient et leur offrait dans les temps anciens du culte à la Déesse que les religions patriarcales se sont empressées de calomnier en le qualifiant de « païen » sous-entendant ainsi des pratiques de débauche, de déviances sexuelles débridées, d’orgies, de prostitution, de sacrifices humains, en ne comprenant rien à ce dont il s’agissait).

Comme si tout cela ne suffisait pas, la condescendance masculine actuelle, sur fond de : « nous, hommes chrétiens, respectons nos femmes », continue sous l’égide d’un christianisme paternaliste qui aurait eu l’héroïque générosité et le génie d’être à l’origine du « mouvement » qu’on appelle « la courtoisie » et subséquemment, « la galanterie ». Il ne fallait aucune fanfaronnade aux druides et aux hommes celtes païens pour respecter la puissance de leurs femmes car c’était normal pour eux. Il ne s’agit de rien d’autre que le bourreau qui tend une chaise à sa victime après l’avoir hébétée sous les coups et les menaces afin qu’elle s’assoie à l’ombre d’un chêne à l’agonie, sous une chaleur écrasante en la forçant à être présente, corset bien serré, à la kermesse dominicale où joue à tue-tête la fanfare constituée d’hommes et de cuivres assourdissants : on ne lui demande pas si elle a envie d’être là, si elle préfèrerait être ailleurs, ce qu’elle aimerait faire et surtout, ce qu’elle aimerait être et apprendre : récupérer son âme, sa nature, son essence féminines, ses potions, ses onguents, ses incantations, ses dons psychiques, sa complicité avec la nature. Elle ne les réclamera pas de son plein gré sinon, le tribunal de l’Inquisition risque de repositionner cette même chaise face à l’accusée et de la condamner pour son outrage et d’ailleurs, l’amnésie est telle qu’elle en est probablement incapable. Les femmes, affaire de courtoisie et de quotas. Comme l’on dit aujourd’hui : « ça ne va pas le faire ». Vos bonnes intentions et votre bonne conscience, chers messieurs, chers pères, ne répareront rien. Rendez-nous nos troubadours, héritiers des bardes celtes ! Eux savaient nous célébrer !

Les femmes ont littéralement été obligées d’aimer leur bourreau simplement pour continuer à vivre. De mères en filles et de génération en génération, cette torture corporelle, sexuelle, psychique et spirituelle s’est banalisée, elle est « entrée dans les mœurs » et les femmes modernes, par haine et par honte d’elles-mêmes et, dans une certaine mesure, par esprit de représailles, revendiquent le « droit » de tuer leurs progénitures, ce que la Vie a de plus pur, le fœtus qu’elles portent, en se trouvant de bonnes raisons : n’est-ce pas le seul pouvoir qui leur reste ? Décidément, elles ont perdu leur fil d’Ariane…

Tout est à l’envers ! Corruptio optimi pessima.

Comme si la débauche laïque, maçonnique et satanique n’était pas celle dont nous avons été témoins ce lundi 4 mars 2024, à laquelle elles ont allègrement participé et consenti.

Ce passé résolument traumatisant est leur excuse : la souffrance tue, réprimée, interdite, refoulée, enfouie et oubliée, l’aliénation. Par haine de soi, l’on commet des actes d’auto-destruction, d’auto-sabotage et d’auto-mutilation.

Mais ce n’est pas de l’amour de soi, mes sœurs…

Ce n’est pas du pouvoir. C’est du désespoir, de l’immaturité et de l’aveuglement. Vous avez été dupées et manipulées…

Le 5ème commandement

La plupart de ces femmes, étant françaises, se revendiqueraient vraisemblablement catholiques ou chrétiennes, afin de demeurer fidèles à la tradition religieuse de leurs parents, auquel cas, elles connaissent le commandement :

Tu ne tueras point.

Décalogue – Exode 20:14

A défaut de se revendiquer catholiques ou chrétiennes, l’on risque peu de se tromper en supposant qu’elles revendiquent une certaine moralité. Rares sont les individus qui se targuent d’être « quelqu’un de mauvais ».

Si je cite ces paroles bibliques, c’est parce qu’ils sont nombreux ceux qui prétendent s’en inspirer en clamant haut et fort et fièrement leur appartenance à la religion romaine. Il semblerait que ces commandements soient finalement soumis à l’interprétation subjective conditionnelle et circonstancielle de chacun du moment que cela arrange et que l’on fasse fi de leur caractère immuable.

Est-il besoin de rappeler que la vie humaine est sacrée et inviolable car elle contient l’empreinte du Divin ?

Le meurtre volontaire d’un innocent est une transgression. Le poids de l’acte sera porté par celui qui l’exécutera autant que par celui qui l’ordonnera. Par conséquent, les femmes qui, désormais, font le choix de se faire avorter, en plus de commettre un affront à la Vie dont elles sont porteuses, rejettent une grave responsabilité sur un professionnel médical qui, précédemment, était encore libre de refuser l’exécution de l’acte mais qui sera forcé de l’accepter contre ses convictions, sa sensibilité et son éthique, primum non nocere qui est le propre du Droit naturel.

Le cas de conscience pour le professionnel est réel car, en dépit de l’inscription de ce « droit » fictif dans une constitution tout aussi fictive (mais les acteurs de ce scénario ignorent tout et ne comprennent strictement rien à ce qui se déroule), sur le plan spirituel, il a le devoir, s’il veut éviter tout karma, de refuser d’obéir : le drame, qui n’existait pas avant l’inscription de ce « droit » dans la constitution, est que le professionnel se met dans l’illégalité selon le droit humain s’il se dérobe. Il n’a plus le choix, il a perdu son libre arbitre reçu de droit divin, et son manque de connaissances ainsi que son refus de s’informer, qui est un devoir auquel il faillit également, l’empêchent de savoir qu’en se soumettant à la loi humaine, il viole la loi divine (naturelle, universelle). Autrement dit, « il est coincé ». Va-t-il vendre son âme ou pas ? Va-t-il obéir aux hommes ou à la Source ?

Il faut insister sur le fait qu’il s’agit ici du meurtre d’un innocent et qu’il ne s’agit pas de légitime défense qui peut conduire à commettre un homicide.

Le Droit naturel

Il n’y a pas d’intermédiaires entre l’humain et son Créateur ou sa Créatrice.

Il est impossible pour quiconque d’autoriser quiconque à tuer dans la mesure où personne, selon le Droit naturel, ne détient ce « droit » pour commencer.

L’autorité d’un gouvernement, d’une constitution, des forces de l’ordre… est illusoire, illégitime, immorale et inexistante mais malheureusement acceptée et défendue avec véhémence par la plupart des humains tant leur vie est privée de transcendance. Ils ont oublié qu’ils sont une âme incarnée dans un corps de chair et de lumière et cet oubli est la cause d’une quantité faramineuse de commotion et de mort dans le monde.

Remémorons-nous la célèbre citation de Pierre Teilhard de Chardin (jésuite au demeurant) pourtant connue dans le monde entier (comme quoi nul n’est prophète en son pays) :

Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine.

Enfin, l’effroi est à son comble lorsque l’on sait que, selon le Droit naturel, le principe féminin est le principe de non-agression. Oh Mère divine !

L’esprit originel

C’est une aberration et un renversement de civilisation lorsque les femmes, porteuses de Vie et apporteuses d’âmes sur Terre perçoivent comme une victoire l’inscription dans la constitution d’un « droit » déjà abusif qui n’était pas menacé.

La victoire des lucifériens sabbatéens est totale : l’on assiste à un inversement des valeurs où la constitutionnalisation du sacrifice d’enfants devient un progrès, une percée, une avancée. Les mouvements tant gauchiste que féministe ont perverti les cerveaux et enseveli les cœurs.

Simone Veil, Ministre de la santé, l’avait explicitement stipulé :

Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. (…) Il va de soi qu’aucun médecin ou auxiliaire médical ne sera jamais tenu d’y participer.

26 novembre 1974

Avec cet ajout de l’avortement à la constitution, l’esprit de Simone Veil a été trahi et son intention piétinée et cela aussi est horrifiant. Pour elle, l’avortement restait quelque chose d’extrêmement douloureux.

Dans l’ambiance de cirque macronienne transhumaniste eugéniste de secte de la mort (death cult), de 4ème Reich (4ème révolution industrielle de Klaus Schwab) et de fin du monde, il faut avouer que l’on est loin de la gravité et de la dignité de Simone Veil qui reconnaissait l’existence d’absolues nécessités et qui cherchait à protéger les femmes de la mort en bannissant des pratiques non hygiéniques.

L’avenir des femmes

L’attitude de victime et la colère propres au féminin blessé posent de graves questions morales concernant la minimisation du fœticide et la perte de libre arbitre des professionnels de santé (ils auront des comptes à rendre au moment de leur passage dans l’au-delà ; l’absence de spiritualité dans la vie de quiconque ne supprime pas la spiritualité et ses lois) car les femmes mettent dans « l’embarras » d’autres individus qu’elles-mêmes.

Il faudra qu’elles se tournent vers d’autres solutions beaucoup plus puissantes qui leur permettront d’éviter les situations les poussant à opter pour l’avortement. L’avortement est une solution de dernier recours et on en a fait une solution à portée de main. La guérison de leur âme féminine étant, bien évidemment, la priorité absolue et en réalité la seule voie pour elles, pour l’humanité et pour la planète.

I foresee no change for the better until everything gets far worse. Only after a period of complete political and religious disorganization can the suppressed desire of the Western races, which is for some practical form of Goddess-worship, with her love not limited to maternal benevolence and her afterworld not deprived of a sea, find satisfaction at last.

Robert Graves – The White Goddess

Je ne prévois aucune amélioration jusqu’à ce que les choses n’empirent vraiment. C’est seulement après une période de complète désorganisation politique et religieuse que le désir réprimé des races occidentales pour une pratique cultuelle envers la Déesse, avec son amour non limité à la bienveillance maternelle et son au-delà non dépourvu d’une mer, pourra enfin être satisfait.

La déesse blanche du titre de l’ouvrage de Robert Graves est la lune et elle représente la déesse Ceridwen qui, dans la tradition druidique galloise, permet la transformation de Gwion et la naissance du plus grand barde du pays, Taliesin. La mer représente le personnage de Morda, c’est-à-dire le Masculin sacré qui pousse vers la transformation.

C’est donc une réconciliation du Féminin et du Masculin sacrés qui conduira vers la seule issue durable et souhaitable. Lorsque le Féminin et le Masculin sacrés fonctionnent ensemble dans l’homme et dans la femme, l’enfant est guidé vers sa réalisation.

L’avenir des femmes est une reprise de leur pouvoir spirituel et sexuel. C’est un projet de longue haleine qui les libère de la colère et de la victimisation et qui inclut les hommes. Ils sont invités à y prendre part activement en guérissant leurs blessures causées par les schémas et la culture de domination.

Quelques symboles

La date choisie tout d’abord, le 4/3/2024. Si l’on s’amuse à faire de la numérologie, 4 + 3 + 2 + 2 + 4 = 15 = 6. Cela vous surprendra-t-il ? Le 6 étant le soi-disant fameux nombre de Satan, de la « Bête » même si ici, il n’y en a qu’un. Peut-être trouverait-on les deux autres en creusant davantage ? Première observation.

Deuxième observation : le 6, en numérologie, porte la vibration de l’amour, de l’harmonie, de la protection et du sanctuaire. Il exprime l’archétype de l’instinct maternel (je n’invente rien !) et l’élan primitif à nourrir et à s’occuper de ceux qui sont dans le besoin. Eh oui ! Nos chers satanistes sabbatéens inversent tout et leur pire ennemi est la Déesse qui représente l’amour, ce qu’ils redoutent le plus ! Retourner les femmes contre elles-mêmes, leur nature et leur instinct maternel est un petit jeu d’un cynisme qui, loin de les effrayer, les ravit. Le Yin, le Féminin, dans son aspect négatif, est le diable et il a été diabolisé par les rabbins, les prêtres et les imams pour cette raison. Nous y sommes mais cette fois, les femmes sont partie prenante.

Les plus rationnels d’entre vous riront sans doute.

Riez !

C’est exactement l’attitude qu’ils attendent de vous et c’est aussi exactement l’attitude de domination qui vous tient éloignés du besoin humain vital de s’occuper et de protéger les plus faibles et les plus fragiles. Le sarcasme et la logique pure. Vous n’ignorez sans doute pas qu’ils choisissent leurs dates avec soin pour un plus grand impact. Cela fait partie de la magie noire qu’ils pratiquent sur l’humanité. Ils se basent sur la gématrie hébraïque. Les mathématiques sacrées étant un art avéré que Pythagore pratiquait, enseignait et maîtrisait parfaitement et que l’on peut mettre au service des Ténèbres.

Le signe astrologique ensuite, les Poissons. Les Poissons sont le dernier signe du zodiaque. C’est le signe le plus spirituel et le plus visionnaire, le plus rêveur. C’est un signe d’eau, l’eau étant associée à la femme, au féminin, aux émotions. D’ailleurs, la planète qui le gouverne est Neptune qui est principalement composée d’eau.

Le symbole du signe des Poissons nous montre l’arc mâle et l’arc femelle (que l’on retrouve dans le premier symbole du [vrai] christianisme représentant la conscience christique du Masculin et du Féminin réunifiés, le Ichthus, avant que l’Empire romain ne le remplace par la croix, symbole de souffrance, de péché, de crucifixion, de mort) unis par une ligne droite, indiquant que l’Age des Poissons (les deux mille ans suivants le ministère terrestre de Yeshua) avait le potentiel de nous amener à l’équilibre. Cependant, cela ne s’est pas produit. Au lieu de cela, le masculin a désavoué sa contrepartie féminine, jetant le monde dans le déséquilibre (traduit de l’ouvrage Return of the Divine Sophia de Tricia McCannon).

Le 6 de l’amour nourricier et les Poissons de la spiritualité et du christianisme gnostique non romain…

Pour terminer

Selon les recherches de Janet Ossebaard, les placentas de bébés avortés seraient utilisés dans la fabrication de burgers (viande synthétique, végétaliens), ceux-là mêmes qu’ils veulent nous faire manger parce que nos belles vaches pètent trop.

D’après Raphaël Cohen (VPN, Tor…), ils seraient utilisés dans la fabrication des injections anti-covid.

Les usines à placenta au service de la tyrannie écofasciste et du sanitaire à la Paperclip ! Pas du tout flippant…

Bientôt les manufactures de couveuses pour remplacer les ventres.

Merci mesdames de votre contribution au grand remplacement !

A la veille de la Journée internationale (des « droits ») des femmes, on tend le dos…

Un être mûr n’a pas que des droits. Il a aussi des devoirs.

Quelle ironie ! Nous sommes si puissantes !

♠♥♠♥♠♥♠♥♠

Cet article n’était pas prévu mais le théâtre indigeste autour de ce qui n’est au fond qu’une imposture de plus de la part des paillards qui prétendent nous gouverner imposait une mise au point autant pour calmer l’énergie et envoyer un message à l’univers que pour m’apaiser. C’est mon humble acte de puissance féminine mais je sais que je suis vue et entendue.

Il va sans dire que JE refuse de consentir !

Photo de Denise Rodrigues dos Leal sur Pexels.com


NB : puisque c’est la semaine de la langue française et de la francophonie et que j’ai terminé et publié ce PDF, qui est désormais disponible sur la page Lien en bio, il y a quelques jours, j’aimerais vous inviter à le lire, à le télécharger si cela vous dit, et à le partager : Aimer et sauvegarder la langue française (je rappelle que je suis professeur de français mais que je pose sur la langue et le langage un regard de mystique car c’est un outil de création).


Merci de partager respectueusement

en mentionnant le nom de l’auteur de ce texte et en ajoutant un lien vers ce site. Pour un bon karma…

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