Ne pas nuire à autrui.

Humain souverain

Etre libre et souverain, sortir de la matrice, avoir les bonnes infos

Qu’est-ce que la fiducie dans la fraude de l’acte de naissance ?

Il était une fois… l’Empire romain.

C’est là que tout commence. J’ai déjà mentionné Rome plusieurs fois. Ce blog offre une section spécifique sur Rome sur la page Lien en bio – notre petite « médiathèque » – et ce n’est ni un hasard ni une fantaisie : le but est que vous compreniez, lecteur, que vous compreniez bien que Rome est la racine du mal, que Rome est l’ennemi. Il y a Babylone également, ainsi que les Khazars mais focalisons-nous sur une seule tumeur cancéreuse à la fois. Elles sont reliées entre elles de toute manière.

La Rome dont il s’agit est celle que nous connaissons aujourd’hui, la secte romaine (liée à la secte babylonienne via les Talmudistes) qui se fait passer pour une Eglise, une religion. Les fondations de cette religion, qui a répandu l’ignorance voire même l’obscurantisme sur le monde, se trouvent dans certaines pratiques de magie noire (lien à Babylone oblige). Ce sont des magiciens noirs, des sorciers qui connaissent les formules permettant à leur volonté néfaste de prévaloir : ils jettent un sort et le sort s’accomplit sur les multitudes, c’est-à-dire nous. Cette caste de prêtres noirs est la seule et unique explication de l’inqualifiable cruauté de l’Eglise romaine.

La première fiducie de l’histoire de 1302

En 1302, le pape Boniface VIII créa la première fiducie de l’histoire avec la bulle papale Unam Sanctam qui se termine ainsi :

En conséquence nous déclarons, disons et définissons qu’il est absolument nécessaire au salut, pour toute créature humaine, d’être soumise au pontife romain.

Il faut comprendre que, selon cette déclaration, le contrôle du Vatican sur les terres, le corps et l’âme (les trois couronnes de la tiare pontificale) d’un individu, qui cesse ainsi d’en être un et qui devient marchandise, est absolu.

Qu’est-ce qu’une fiducie ?

Lorsque les Templiers partent en croisade à Jérusalem, ils confient leurs biens et leurs propriétés à des amis, des proches en qui ils ont confiance (trust en anglais, d’où le terme trust pour fiducie dont la racine est fiducia en latin, confiance) qui deviennent les curateurs. Lorsque le curateur refuse de rendre la propriété à son propriétaire d’origine à son retour, les tribunaux ne peuvent se prononcer en la faveur du propriétaire légitime en vertu de la pratique de la revendication de droit en droit : celui qui est en mesure d’affirmer la revendication de propriété la plus élevée et la plus évidente possède l’objet. Cette notion est cruciale et se retrouve à maintes reprises dans le courant de l’histoire (notamment l’invasion des Amériques). Autrement dit, le propriétaire légitime ne peut faire valoir son droit de « précédence » sur sa propriété.

Par conséquent, cette bulle papale de 1302 crée une fiducie radicale et totale sur les terres, corps et âmes des individus du monde entier et prétend détenir l’autorité sur eux : les terres, corps et âmes des humains appartiennent à l’Eglise romaine. Cette bulle prive chaque être de ses terres, de son corps et de son âme. Le pontife.possède.tout : il impose sa revendication de droit sur tout et la population mondiale n’a aucun recours « légal » puisque tout ce qui se passe dans les tribunaux est d’ordre ecclésiastique.

Il reste à défier ce sort, cette bulle, cette revendication. Ce que, jusqu’à présent, dans l’ignorance, nul n’a fait.

Le coup de magie (noire) est opérée grâce à la fraude de l’acte de naissance par lequel le Vatican s’approprie l’âme du nouveau-né et fait de lui un esclave.

[Je me permets ici une petite parenthèse pour attirer l’attention sur la possibilité, grâce à l’acte d’apostasie, d’amorcer son extraction de ce système perfide. Voici également un extrait de ma Déclaration souveraine :

J’ai pris conscience également que mes prénoms par le baptême attachent mon âme au Vatican, au Pape… à la couronne de l’air. Je me dissocie de cet acte qu’un soi-disant prêtre a effectué sur moi. Je retire de ce fait tous les contrats passés avec des personnes qui se sont octroyé par abus de pouvoir ou tromperie mon âme, ceci, en tout temps, lors de toutes mes vies antérieures et celle-ci… et ceci pour toujours.

L’acte d’apostasie est un premier pas qui permet de libérer l’âme afin qu’elle ne soit plus sous l’effet de ce coup de sorcellerie, la sorcellerie ne fonctionnant que si l’on y croit et que si l’on s’y soumet, ce que ne fait pas un humain souverain.]

Seul l’humain souverain peut prétendre à son véritable statut d’enfant du Divin, d’enfant de l’Univers, muni de tous ses pouvoirs, de tous ses moyens. C’est l’esclave qui est « mort » (sans âme puisque le Vatican la possède), « perdu en mer » et qui ne revendique pas ses biens, son corps, son âme (se souvenir du coup de magie noire de l’injection génique pendant l’épisode de la Covid : avez-vous revendiqué votre corps ?).

Les juges des tribunaux, de leur robe noire vêtus (penser noblesse noire), représentent les prêtres de Baal, dieu du culte romano-babylo-talmudiste : ce sont des ecclésiastiques.

La première fiducie testamentaire de l’histoire de 1455

« Testamentaire » c’est-à-dire relatif à un testament.

Le pape Nicolas V (autorise l’esclavage des Africains quatre décennies avant l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique, tiens tiens) transfère toutes les propriétés que le Vatican revendiquait dans la fiducie de 1302 dans cette fiducie. Il s’agit d’une fiducie spécifique aux biens immobiliers : vous ne possédez strictement rien. Le Vatican sait que vous ne pouvez rien posséder car tout est énergie ; le concept de propriété est une distorsion. On peut jouir d’un objet (maison, terrain) et l’entretenir, avoir le droit d’usage, mais pas le posséder.

La bulle papale à l’origine de cette fiducie testamentaire de 1455 s’intitule Romanus Pontifex. Cette fiducie correspond à la 1ère couronne de la tiare pontificale également appelée triregnum (trois royaumes… fictifs !).

La seconde fiducie testamentaire de 1481

Cette bulle papale de Sixte IV s’intitule Aeterni Regis, la Couronne éternelle. C’est la 2nde couronne de la tiare pontificale et elle a créé la Couronne d’Aragon, ou Couronne d’Espagne qui régnait sur tous les esclaves romains (le véritable Commonwealth). Ce règne est passé au roi Jacques Ier d’Angleterre en 1604 puis revint à la Couronne d’Espagne en 1975 sous le règne de Juan Carlos Ier (un roi né à… Rome). Il s’agit d’une fiducie sur toute naissance ayant lieu dans les confins des territoires romains : cette fiducie prive l’individu de sa propriété sur sa propre… chair, son corps, et le réduit à la servitude perpétuelle en tant qu’esclave romain.

La troisième fiducie testamentaire de 1537

Cette bulle papale de Paul III intitulée Convocation crée la 3ème couronne de la tiare pontificale et elle ouvre le concile de Trente.

C’est la bulle par laquelle toute « âme perdue » (lost at sea = lost to the See, Holy See en anglais, Saint-Siège) est… revendiquée… par le baptême !

Sans titre légal sur son âme, l’individu est privé de statut juridique et est traité comme une marchandise par le barreau qui peut désormais appliquer le droit maritime (du commerce).

C’est la raison pour laquelle l’obsession de cette secte romaine est d’obtenir un maximum de baptêmes et de conversions et qu’elle adopte une attitude très prosélytique.

La fiducie Cestui Que Vie

Les trois fiducies précédentes sont appelées fiducies Cestui Que Vie (celui qui vit). Elles sont au nombre de trois et l’on pourrait résumer en disant que c’est le nom de l’esclavage des esclaves romains que nous sommes tous. Ces trois fiducies ou trusts Cestui Que Vie se réfèrent aux trois couronnes qui privent de la propriété, du corps (liberté) et de l’âme. C’est le système qui saigne les humains du fruit de leur labeur depuis des siècles.

Le concept de Cestui Que Vie a été inventé à l’époque du roi Henry VIII d’Angleterre en 1540 puis mis à jour en 1666 par Charles II (suite au grand incendie de Londres au cours duquel des milliers d’habitants sont morts ou ont fui). Le principe est de faire bénéficier quelqu’un d’une succession, de biens ayant appartenu à une personne disparue, « perdue en mer », au bout de sept ans d’absence. Le but était de permettre à un individu vivant et compétent de bénéficier des droits sur les biens d’un autre suite à des événements ou à cause de circonstances qui empêchaient cet autre de les récupérer.

La France étant membre de la US Securities and Exchange Commission (qui régit tout le commerce mondial) à New York, chaque citoyen français l’est également et est actionnaire. L’acte de naissance, converti en contrat par la signature du père (le bébé-esclave romain ne pouvant le faire lui-même), est un billet à ordre de par les tournures légales qui y figurent (le bébé n’est-il pas pesé à la naissance pour connaître son « pesant d’or », c’est-à-dire sa valeur ?) et est vendu à la banque privée « nationale » (Banque de France) en tant qu’obligation (titre boursier), transformé en 2ème fiducie CQV séparée appartenant à la banque. Lorsque le billet à ordre atteint sa maturité et que la banque ne peut saisir l’enfant-esclave « mort », un privilège ou droit de rétention est délivré selon le droit maritime pour « sauver » la propriété perdue (l’acte de naissance-obligation), car non réclamée par son propriétaire (l’enfant qui a désormais 7 ans), qui est ensuite monétisée aux termes de la fiducie CQV.

L’acte de naissance-obligation peut valoir plusieurs millions de dollars.

[Seconde parenthèse : compte tenu de l’extrême complexité du processus, il se peut que se soient glissées des erreurs dans ma compréhension et formulation. Si c’est le cas, merci de me l’indiquer avec des corrections simples pour que je modifie. Je me suis basée sur un document en anglais pour les détails de la fiducie CQV.]

Dans le prochain article, nous approfondirons l’aspect juridique de cette fraude en essayant de comprendre comment les tribunaux, les juges sont les représentants de cette secte romaine et ne peuvent par conséquent pas rendre la justice envers les « morts » que nous sommes.

Photo de Pixabay sur Pexels.com


Merci de partager respectueusement

en mentionnant le nom de l’auteur de ce texte et en ajoutant un lien vers ce site. Pour un bon karma…


Publié par

Laisser un commentaire

Académie française acte de naissance ascension compétence consentement contrat divin dol désobéir esclavage famille femmes fiction fiducie fraude fréquences féminisation Grande Invocation guerre spirituelle impôt intelligence joie Logos Lumière magie Mal mantra métiers OPPT paix pape pouvoir prière responsabilité s'affranchir se libérer sexualité travail tribunaux unité victime vol âme éveil spirituel

Articles récents

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer