En 2023, j’ai publié plusieurs articles sur la fraude du nom légal ou fraude de l’acte de naissance. Dans Ne pas nuire (mars 2023), j’ai posé les bases et expliqué les grandes lignes de la fraude. Dans la série de trois articles de mai, juin et juillet 2023, j’en ai expliqué les origines et les rouages techniques (autant que je l’ai pu). Dans cet article, j’aimerais proposer une description à un « niveau intermédiaire », si je puis dire, pour décrire l’esclavage romain, l’esclavage économique ayant remplacé l’esclavage physique :
For, at the end of the day, who are you really working for? The banks. Money is created in a bank and invariably ends up in a bank. They are the true masters, along with the corporations and governments they support. Physical slavery requires people to be housed and fed. Economic slavery requires people to feed and house themselves.
Zeitgeist Addendum (le film)
Car, en fin de compte, pour qui travaillez-vous vraiment ? Les banques. L’argent est créé dans une banque et se retrouve invariablement dans une banque. Ce sont les vrais maîtres, avec les entreprises et les gouvernements qu’ils soutiennent. L’esclavage physique exige qu’on loge et qu’on nourrisse les gens. L’esclavage économique exige que les gens se logent et se nourrissent eux-mêmes.
Cela pourra paraître ennuyeux, répétitif et rébarbatif à ceux du « niveau avancé » mais c’est en répétant que l’on apprend et que l’on assimile (et c’est un excellent exercice pour moi).
Comprendre la fraude
Tout commence le jour où l’enfant naît. Les parents ont l’obligation de le déclarer exactement comme on devrait déclarer une marchandise au port ou à l’aéroport… ce qui en réalité est le cas puisqu’il est plus que pertinent, il est nécessaire de noter que l’expression « perdre les eaux » fait référence au navire qui arrive au port chargé de marchandises qui seront déclarées selon les lois du droit maritime (commercial) international : l’enfant sort des eaux de sa mère et est considéré comme une marchandise (dans la langue anglaise, « poste d’amarrage » se dit berth et « naissance » se dit birth, les prononciations sont exactement les mêmes ; pas du tout un hasard bien sûr).
La pression est exercée dès que l’enfant paraît. Le certificat médical d’accouchement est une attestation délivrée par le médecin ou la sage-femme et les parents sont quasiment obligés de déclarer la naissance, dans un délai de 5 jours après la naissance, à défaut de quoi des sanctions seront appliquées et la « justice » interviendra.
A partir du moment où l’enfant est déclaré aux autorités « portuaires d’état civil », il n’appartient plus à ses parents et l’Etat s’est arrogé des droits sur ce nouvel esclave romain en vertu de la bulle papale Aeterni Regis de Sixte IV de 1481. Cette bulle papale a créé la Couronne d’Aragon (le véritable Commonwealth ; la Couronne n’est pas le roi d’Angleterre mais bien le Vatican) qui règne sur tous les esclaves romains. Il y a donc un lien entre l’acte de naissance et le baptême. Le baptême soumet à l’autorité pontificale (religieux) et l’acte de naissance soumet à l’autorité administrative (judiciaire). Le concept d’autorité parentale est légalement un leurre. C’est la raison pour laquelle les « services sociaux » (à la botte des réseaux pédocriminels liés aux satanistes et au Vatican) séparent les enfants de leurs parents sous couvert du bien pour l’enfant : ses parents, qui ont renoncé à lui à sa naissance en signant l’acte de naissance qui est en réalité un billet à ordre, l’ont remis à l’Etat à leur insu. Cet acte frauduleux s’appelle un dol.
Qu’est-ce qu’un dol ?
Tromperie commise en vue de décider une personne à conclure un acte juridique (dol principal) ou à l’amener à contracter à des conditions plus désavantageuses (dol incident).
(Larousse)
Les parents ont été dupés, certes, mais les répercussions sont dramatiques.
Si l’enfant ne se manifeste pas avant le jour de ses 7 ans pour réclamer son acte de naissance-billet à ordre comme l’exige la fiducie Cestui Que Vie de 1666 (valable dans tout l’Empire romain, ou Commonwealth), ce qu’il ne fera jamais puisqu’il n’est au courant de rien, selon le principe même du dol, il est légalement considéré comme « perdu en mer », c’est-à-dire mort. Un mort n’administre pas lui-même ses biens (sa valeur adossée à son acte de naissance-billet à ordre). Par conséquent, ceux-ci sont préemptés, raflés, réquisitionnés, retenus par l’Etat. L’Etat récupère l’acte de naissance-billet à ordre et le transforme alors en titre boursier de type obligation qui, suite à un processus complexe de création d’une seconde fiducie à la Banque de France, qui n’est pas la banque de la France mais une banque privée, est investi sur les marchés financiers et génère des profits… mais pas à l’intéressé, au propriétaire, au bénéficiaire puisqu’il est considéré comme mort.
En outre, dans le cadre de notre fraude, l’individu n’a plus aucun droit juridiquement puisqu’il n’a plus d’âme selon la 3ème fiducie testamentaire de 1537 qui revendique toute âme « perdue en mer ». Sans son âme, l’humain n’existe plus et, par l’arnaque de l’acte de naissance-billet à ordre, il est devenu ou pose pour l’entreprise, la personne morale figurant en lettres capitales sur l’acte de naissance-billet à ordre. C’est ce qu’on appelle également « l’homme de paille ».
Il en résulte que toute implication avec l’administration publique ou la « justice » signifie qu’au lieu de défendre ses intérêts, de gérer ses biens, de se battre pour lui-même ou pour obtenir justice, il administre la fiducie… sauf qu’il ne le sait pas. Tout est fait pour que ses droits de propriétaire de l’acte de naissance et de bénéficiaire de la fiducie soient renversés pour le mettre en position de débiteur : payer et accessoirement, passer du temps en prison.
[NB : une prison est un entrepôt où l’on dépose des marchandises avariées…]
Ce processus grotesque, détraqué et pervers est décrit plus en détail dans l’article de mai 2023 avec chaque bulle papale et chaque fiducie énumérée et expliquée chronologiquement et une par une.
La salle d’audience est un des lieux où se joue cette tromperie : le péché a été commercialisé et le juge est un ecclésiastique. En réalité, le procès s’adresse à la personne morale dont le nom apparaît en lettres capitales sur l’acte de naissance-billet à ordre. Ce nom n’est pas l’individu mais l’entreprise privée qui a été créée à sa naissance pour faire basculer le sacré dans le domaine du commercial.
Ces pratiques judiciaires nous semblent normales car nous vivons dans une société de très basse vibration où des délits et des actes criminels sont commis tous les jours par des individus dégénérés qui ne savent pas s’auto-gouverner en conscience (maîtrise de soi, maîtrise spirituelle) mais elles ne le sont pas. Elles enfreignent la souveraineté de l’être qui devrait pouvoir entretenir une relation directe avec son Créateur et sa Créatrice sans intermédiaires et sans interférence de l’Etat et de la religion quelle qu’elle soit. Notre énergie vitale et notre âme ont été détournées au profit (littéralement !) de l’élite satanique et luciférienne via l’Etat qui est le bras politique et laïc du Vatican (les « chefs d’Etat » baisent la main du pontife ; vous êtes-vous demandé pourquoi ?).
Alors ? Le dindon de la farce, c’est qui ?
Récupérer son bien spirituel et matériel
Il faut récupérer son bien, pour soi-même ainsi que pour ses enfants. Ce bien, c’est tout d’abord son âme et ensuite son acte de naissance (dites-le nous si vous parvenez à mettre la main sur votre acte de naissance intégral, pas l’extrait qu’on peut facilement se procurer en mairie, pour qu’on en profite tous et qu’on puisse aussi accomplir la démarche), en prenant conscience que le fait d’avoir été victime d’un dol « ouvre des droits ».
Pour ce faire, il faut impérativement s’extraire de la mentalité d’esclave. L’esclave moderne est un individu qui mesure sa valeur à sa capacité à obéir, le religieux ayant préparé le terrain pour le politique : le fidèle à l’échine courbée peureux face à la punition et obséquieux face à la curie romaine et à tout ecclésiastique qu’il considère comme supérieur à lui-même a préparé le citoyen servile et loyal à son maître esclavagiste de l’exécutif, du judiciaire, de la franc-maçonnerie et au-delà.
Remonter le fil d’Ariane pour s’extirper du labyrinthe
Cela commence par la prise de conscience provoquée, espérons-le, par la lecture des paragraphes ci-dessus laborieusement rédigés pour vous.
Une fois que cela est fait, il est relativement facile de rompre avec le Vatican sur le plan spirituel en reniant son baptême grâce à l’acte d’apostasie. Cela permet de récupérer son âme !!!
Ensuite, il faut désapprendre à obéir. Alors là… ça se complique tant nous avons l’habitude de nous soumettre et de craindre la punition. Ces réflexes sont acquis à cause des conditions déplorables de la société concentrationnaire dans laquelle nous avons grandi (d’aucuns affirment que le 3ème Reich n’est jamais tombé et qu’ « ils » nous préparent le 4ème…).
Le mieux est de faire une thérapie afin de se connaître et donc de s’aimer soi-même, de corriger ses comportements d’auto-sabotage puis de se tourner vers une pratique spirituelle non soumise au dogme religieux. Personnellement, j’ai entamé une thérapie à l’âge de 28 ans et j’entretiens une relation directe avec la Déesse et la tradition primordiale de mes ancêtres celtes qui n’est ni dogmatique ni issue d’une religion soi-disant « révélée ».
L’étape suivante est de faire des recherches pour mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. C’est un monde où TOUT a été commercialisé. Les très nombreux liens qui ponctuent cet article sont là pour vous faciliter la tâche et vous motiver à poursuivre seul.
Pour que votre démarche de sécession soit efficace, commencez par savoir que tout, dans le droit commercial, est basé sur le contrat.
Or, quels contrats avez-vous passés ou signés avec l’Etat, le fisc, la police, la « justice » ? Aucun. Soit dit au passage que toutes ces instances, tous ces organes sont des entreprises privées ! Oui ! L’Etat français est une entreprise privée. La Direction générale des finances publiques est une entreprise privée. La police est une entreprise privée. L’Assemblée nationale et le Sénat sont des entreprises privées. Tous les partis politiques sont des entreprises privées. Le ministère de la Justice est une entreprise privée. Le ministère de l’Intérieur est une entreprise privée. La Banque de France est une entreprise privée. Quel est le but d’une entreprise privée ? Faire des profits et c’est à cela que vous servez.
Néanmoins, c’est le contrat qui fait loi et si vous n’en avez signé aucun, ce qui est le cas, alors rien ne vous oblige à obtempérer à des ordres illégaux. Si vous êtes convoqué par la police ou la « justice », vous pouvez faire valoir le fait que vous êtes au courant de la fraude, que vous n’êtes pas la personne morale dont le nom est inscrit en lettres capitales sur tous les papiers administratifs (vous êtes un être humain de chair et de sang souverain, bien vivant et doté d’une âme) et que vous êtes compétent pour gérer et administrer vous-même vos biens. Ainsi vous mettez fin à la fiducie frauduleuse, vous cessez d’être un esclave romain et, dans une mesure ou une autre selon vos capacités, vous quittez la matrice.
Cela requiert du courage. C’est la raison pour laquelle il faut s’armer d’une forte spiritualité bien ancrée dans la certitude viscérale et inébranlable que vous êtes un enfant de l’Intelligence divine et que personne n’a le droit de s’interposer entre vous et votre Créateur et votre Créatrice.
Il reste des zones d’ombre que je n’ai pas élucidées au sujet de l’acte de naissance-billet à ordre-titre boursier.
- Qui spécule avec ?
- Où et comment ?
- Est-il possible de le récupérer et de récupérer… le butin gagné sur mon dos ?
Vous avez les réponses ? Contactez-moi et partagez-les ! Merci !
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PS : je propose un lexique alphabétique des termes un peu compliqués et techniques qui apparaissent de manière récurrente sur ce site. Il n’est pas terminé mais je progresse. Vérifiez régulièrement s’il existe une version mise à jour. Vous pouvez le télécharger (toujours avec intégrité, comme tous mes autres PDF, merci) et le consulter à votre gré pour assimiler les concepts développés sur Humain souverain.
Photo de lalesh aldarwish sur Pexels.com
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