Ne pas nuire à autrui.

Humain souverain

Etre libre et souverain, sortir de la matrice, avoir les bonnes infos

Ne pas nuire

Sortir de la matrice consiste, entre autre, à comprendre que le droit qui s’applique dans nos vies est une construction illégitime de règles arbitraires et injustes dont l’origine remonte à la République de Rome et à l’Empire romain (d’où la présence de nombreuses expressions en latin) et dont le but est de nous asservir (droit justinien notamment).

Nous sommes des êtres humains vivants, par conséquent nous dépendons du Droit naturel. Le Droit naturel est d’une simplicité désarmante. Il se réduit à une seule règle : ne pas nuire.

On pourrait l’appeler « la Loi d’inoffensivité » (Law of Harmlessness), un mot qu’il faudra vulgariser et faire entrer dans l’usage ces prochaines années.

Dans le droit coutumier (Common Law) anglo-saxon, elle se résume ainsi :

Cause no harm.
Cause no loss.
Cause no damage.

Autrement dit :

Ne cause aucun tort.
Ne cause aucune perte.
Ne cause aucun dommage.

Appliquer ce Droit dans sa vie implique d’avoir intégré la notion d’Unité, c’est-à-dire avoir une conscience profonde de l’interconnectivité entre les humains : le bien ou le mal que je fais à autrui, je me le fais à moi-même. C’est la Loi du karma de la tradition hindoue.

Mark Passio enseigne que les sept véritables transgressions (les authentiques sept péchés capitaux) au Droit naturel sont :

  1. le crime : vol de la vie
  2. l’agression : vol du bien-être corporel
  3. le viol : vol de la libre association sexuelle
  4. le vol : privation de la propriété matérielle
  5. la violation de propriété privée : vol de la sécurité de quelqu’un dans son espace de vie, son domaine de vie
  6. la coercition : vol de la capacité d’autrui à prendre des décisions selon son libre arbitre avec menaces de violence, c’est-à-dire sous la contrainte
  7. la tromperie : vol de la vérité et donc de la capacité à prendre des décisions éclairées

Il nous rappelle que c’est le contrat qui fait loi. Un contrat s’établit d’un commun accord conscient entre deux individus, jamais entre un individu et une entreprise. Les deux parties doivent être égales.

Par conséquent, un être humain ne peut établir de contrat avec une institution telle que l’Etat, l’administration fiscale, la police, la gendarmerie ou la « justice » puisque ce sont (c’étaient) des sociétés privées avec numéro de SIREN. C’est techniquement impossible selon le droit même.

C’est la raison pour laquelle il nous a été donné une identité fictive à la naissance via l’acte de naissance par lequel notre identité est celle qui figure sur l’acte. Cet acte est signé par le père le plus souvent et non par le bébé qui vient de naître et qui ne peut le faire lui-même. Cette signature nous signifie la création de la personne qui s’identifiera au nom en lettres capitales qui apparaîtra sur les documents « légaux » tout au long de sa vie. L’être humain cesse d’exister sur-le-champ ; l’esclave a été créé. C’est à l’âge de 7 ans que la fiducie prendra effet et que l’Etat s’appropriera tous ses biens.

Cette manœuvre commise à l’insu d’un des contractants s’appelle le dol, dont le dictionnaire Larousse donne la définition suivante :

Tromperie commise en vue de décider une personne à conclure un acte juridique (dol principal) ou à l’amener à contracter à des conditions plus désavantageuses (dol incident).

Il y a eu nuisance, tromperie, fraude et donc le Droit naturel a été enfreint. Nous subissons de telles infractions tous les jours et les « moutons » qui s’y soumettent mesurent souvent leur valeur à leur degré d’obéissance.

Apprenons à les détecter, à y résister et ne les infligeons pas à notre prochain. Le problème se pose très sérieusement aux individus qui travaillent dans une institution frauduleuse (et forclose) de type police, Etat, impôts etc. Le karma qu’ils accumulent est considérable et le Droit naturel s’applique qu’on y croie ou pas. Ils en subiront donc tout… naturellement les conséquences. D’où qu’il appartient à tout un chacun de connaître les lois universelles.

Souvenons-nous du célèbre adage :

Ma liberté s’arrête là où commence celle des autres.

… ainsi que du proverbe :

Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’on te fît.

Autrui, c’est également la nature (jeter des papiers, du plastique dans la nature peut facilement être évité), les animaux (les abandonner, les maltraiter, les manger), les voisins (les nuisances sonores), ses enfants (passer du temps avec eux afin de leur donner l’attention et donc l’amour dont ils ont besoin pour se structurer). Enfin, ne l’oublions pas, autrui, c’est aussi soi-même.

La sagesse populaire détient les trésors de nos ancêtres celtes qui ont connu la vie avant l’oppression romaine (Rome = Roma ≠ Amor). Il est essentiel de nous tourner vers eux pour nous y reconnecter et l’assimiler dans notre ADN et notre psyché.

Photo de Brett Sayles sur Pexels.com


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