Ne pas nuire à autrui.

Humain souverain

Etre libre et souverain, sortir de la matrice, avoir les bonnes infos

Le rôle des magistrats dans la fraude de l’acte de naissance

Cet article fait suite à l’article du mois dernier qui tentait de comprendre le sens de la fiducie dans la fraude de l’acte de naissance. Il a été établi par quelles bulles papales le Vatican s’est approprié les biens, les corps et les âmes de tous les humains de la Terre. J’ai également expliqué ce qu’est la fiducie Cestui Que Vie (CQV). Il nous restait à approfondir la question de l’aspect judiciaire de cette fraude puisque les fonctionnaires de la « justice » sont des représentants ecclésiastiques du Vatican et, par conséquent, n’ont pas vocation à rendre la moindre justice mais à faire des profits pour le bénéfice de la secte romaine vaticano-babylonienne adoratrice du dieu Baal.

Il en est de même pour le barreau : les avocats ignorent tout de cette fraude. Leurs études de droit ne leur enseignent pas qu’ils voguent sur les eaux du droit canonique.

Droit canonique

La toute première chose à comprendre est que lorsqu’on se présente devant un tribunal, l’on se trouve sous la juridiction du droit fiduciaire : les prêtres de Baal que sont les juges administrent les fiducies du Vatican. Noter que Virgile nous rappelle dans L’Enéide (Chant 7, vers 202-204) que les Latins sont la « race de Saturne » :

… ne méconnaissez pas les Latins,
race de Saturne, un peuple qui n’a ni prison ni lois, juste par nature
et qui s’en tient aux mœurs du dieu des temps anciens.

(Saturne, Satan, Latin ; la langue latine du droit romain est la langue saturnienne satanique.)

Les juges en robe noire, prêtres de Baal fauchent (tel le nom de la mort en littérature : « la Grande Faucheuse ») les richesses et les âmes des humains en vertu des bulles papales. Une âme fauchée est un humain qui a été énergétiquement et spirituellement sodomisé, violé et dont la vie également est fauchée. Ne minimisons pas ce dont il s’agit.

Dès la naissance

La pression est exercée dès que l’enfant paraît : le certificat médical d’accouchement est une attestation délivrée en général par le médecin ou la sage-femme et les parents sont poussés à déclarer la naissance. Si la déclaration de naissance n’est pas faite dans les délais (5 jours après la naissance), des sanctions sont appliqués aux personnes tenues d’y procéder et la « justice » doit intervenir.

Sur le site du gouvernement français, les pénalités sont clairement exposées :

Déclaration hors délai

Si la déclaration de naissance n’est pas faite dans les délais réglementaires, l’officier d’état civil ne peut pas régulariser la situation lui-même. Une déclaration judiciaire de naissance est nécessaire.

Régularisation devant le juge

Il faut recourir à un avocat pour obtenir un jugement déclaratif de naissance.

(…)

Sanctions civiles et pénales

Une personne tenue de procéder à la déclaration de naissance qui n’agit pas dans les délais requis engage sa responsabilité civile à l’égard de cet enfant (dommages et intérêts pour le préjudice causé par la non déclaration).

Par ailleurs, elle risque une peine d’emprisonnement de 6 mois et une amende de 3 750 €.

Ça, c’est du business et a de quoi dissuader tout parent de vouloir préserver la souveraineté de son enfant !

Il est pertinent de noter à ce stade que l’expression « perdre les eaux » fait référence au navire qui arrive au port chargé de marchandises qui vont être déclarées selon les lois du droit maritime (du commerce) international : l’enfant sort des eaux de sa mère et est donc considéré comme une marchandise (« poste d’amarrage » se dit berth en anglais et « naissance » se dit birth, la prononciation est exactement la même). Non, je n’invente rien.

A partir du moment où l’enfant est déclaré aux autorités « portuaires d’état civil », il n’appartient déjà plus à ses parents et l’Etat s’est arrogé des droits sur ce nouvel esclave romain (voir fiducie testamentaire de 1481). Le concept d’autorité parentale est un leurre, d’où que les « services sociaux » peuvent séparer l’enfant de ses parents qui ont renoncé à lui à sa naissance et l’ont remis à l’Etat à leur insu (voir le concept de dol).

Tout le système participe de cette récolte d’âmes : les mairies, certains hôpitaux publics ayant une permanence au sein du service de maternité, et donc… les tribunaux.

Dans la salle d’audience

Imaginez une salle d’audience avec un juge, un greffier ou officier public ministériel dans le cas du tribunal de commerce, un procureur et… vous-même. Le juge, le greffier et le procureur travaillent pour l’Etat qui est le propriétaire de la fiducie CQV. Le but du procès n’est pas de rendre la justice mais d’administrer la fiducie. Le juge, le greffier et le procureur représentent la fiducie dont le propriétaire est l’Etat (le Vatican).

Selon le droit fiduciaire, l’on ne peut être fiduciaire ou exécuteur et bénéficiaire car il y aurait conflit (le procureur amène le procès par écrit et vous fait avouer vos « crimes » au juge pour vous faire payer en puisant dans votre compte CQV dont ils détiennent le numéro : n° d’acte de naissance, n° fiscal, n° de sécurité sociale entre autres, nous sommes dans le domaine du bancaire). Vous êtes le bénéficiaire de la fiducie CQV (souvenez-vous que vos biens vous ont été usurpés car vous êtes « perdu en mer », donc « mort », le Vatican les détient).

(NB : il est virtuellement impossible d’obtenir des informations claires en ligne sur ce sujet vu qu’il est totalement occulte et occulté ; les sites de droit francophones indiquent que les trois acteurs d’une fiducie sont : le constituant, le fiduciaire (exécuteur ou curateur) et le bénéficiaire mais ce modèle ne correspond pas aux ressources anglophones disponibles en ligne et émanant de chercheurs en droit canonique et experts de cette fraude en particulier par conséquent, mon parti pris a été d’ignorer le droit francophone des fiducies qui nie l’existence de ces combines et de traduire les termes utilisés dans mes ressources anglophones par souci de clarté, d’autant que d’autres ressources francophones utilisent des termes inventés qui ne sont répertoriés sur aucun site juridique francophone. Une autre difficulté est l’absence de méthode pédagogique pour transmettre ces informations autant en anglais qu’en français.)

Mais attention : ils vous ont fait venir au tribunal en vertu de votre nom en lettres capitales figurant sur votre acte de naissance. Ce que le juge veut obtenir de vous est que vous lui donniez ce nom pour établir votre consentement que la fiducie CQV est réelle et effective.

Si vous donnez votre nom, vous donnez votre accord et la fiction de la fiducie se déclenche : vous admettez que vous êtes une personne c’est-à-dire une fiction légale, une société privée ou, à un autre niveau, un esclave ; vous renoncez à votre souveraineté et à votre identité d’homme ou de femme libre. Vous perdez votre statut de bénéficiaire en devenant fiduciaire alors que le fiduciaire est le juge.

C’est là que les rôles devraient s’inverser à vos dépens : dans le cadre de la fiducie (et non de la justice comme vous le croyez), vous devenez pécheur en confessant vos péchés et en vous accusant vous-même. Tout se passe comme au confessionnal. Le juge devient le prêtre qui ordonne quelle pénitence vous devez pour vous « réconcilier » avec Dieu : vous devez payer pour vos péchés (vos « crimes » ou vos « délits ») : vous exécutez votre pénitence, nous sommes dans le domaine du religieux.

Autrement dit, ils ont monétisé le péché.

Si vous jouez leur jeu, il se peut que vous vous présentiez avec un avocat. L’avocat travaille pour le compte de la fiducie CQV tout comme le juge, le greffier et le procureur. En faisant cela, vous prouvez que vous êtes une pupille de l’Etat, que vous êtes « perdu en mer », « mort » et incompétent car l’avocat vous représente : vous avez donc besoin d’un compte CQV pour gérer votre fortune… alors qu’ils l’ont volée et que vous êtes bien là.

Vous pouvez néanmoins rester à la barre du navire (littéralement puisque nous sommes en plein délire de droit maritime et que le tribunal tient lieu de navire) en montrant que vous savez ce qui se passe et en répondant que vous êtes [votre prénom] (sans nom de famille) et en demandant au juge de bien vouloir confirmer que ce qu’il essaie de faire est administrer la fiducie créée à votre nom (avec nom de famille et en lettres capitales, Pierre DURAND par exemple). Cette question va profondément lui déplaire car elle déjoue tous ses plans et prouve votre compétence.

Cela établit que vous savez que le nom Pierre DURAND est celui d’une fiducie (créée à votre insu, contre votre volonté à votre naissance avec la complicité non éclairée de votre père), pas d’un être vivant (vous-même).

Si vous refusez d’admettre que le « nom » est présent (que vous n’êtes pas le représentant de Pierre DURAND et que vous êtes simplement Pierre), le procureur échoue dans sa mission de basculer la responsabilité de la dette ou de la pénitence vers vous et doit la payer et c’est ce qu’il cherche à éviter à tout prix.

Le juge, étant le fiduciaire, est le nom de la fiducie dont vous refusez d’endosser la responsabilité (un individu ne peut pas contracter avec une société privée, ce qu’est l’Etat, propriétaire de la fiducie). Vous pouvez lui dire : « Pierre DURAND est présent aujourd’hui en effet, c’est vous, votre honneur ».

Vous pouvez également demander au greffier qui il est (est-il fiduciaire ?) et lui demander de confirmer s’il a nommé le juge en tant que curateur et administrateur de la fiducie CQV dont le propriétaire est l’Etat, ainsi qu’au juge s’il a nommé le procureur en tant qu’exécuteur de la pénitence (constructive trust – selon mes recherches, le terme en anglais est retenu en français, bien que la traduction « fiducie constructive » existe ; cette fausse fiducie vise à empêcher l’enrichissement injuste d’une des parties). Ensuite, confirmez auprès du procureur qu’il est l’exécuteur puis affirmez que vous êtes le bénéficiaire en terminant : « maintenant, nous savons qui est qui ».

Vous pouvez désormais donner votre permission au juge de lever l’audience et de dissoudre le constructive trust, la pénitence, car vous ne croyez pas en la notion de péché, êtes conscient de votre identité divine souveraine dotée d’une âme et la revendiquez (voir le concept de revendication de droit).

Ainsi, vous récupérez votre âme, vous n’êtes non plus « mort » mais compétent (la notion de compétence est cruciale : un être vivant est compétent alors qu’un mort ne l’est pas).

Le moment est venu de revendiquer votre corps et de mettre fin à la fiducie CQV : « je revendique mon corps et mets fin à la fiducie CQV que vous avez imposée et qui n’a aucune valeur. Vous êtes coupable de fraude devant la loi. Affaire classée sans suite ».

Dans le prochain article, nous étudierons les différents niveaux de droit susceptibles d’être appliqués suite aux suspensions d’audience du juge qui peuvent se produire en raison de votre prise de pouvoir.

Photo de Ekaterina Bolovtsova sur Pexels.com


Merci de partager respectueusement

en mentionnant le nom de l’auteur de ce texte et en ajoutant un lien vers ce site. Pour un bon karma…


Publié par

Laisser un commentaire

Académie française acte de naissance ascension compétence consentement contrat divin dol désobéir esclavage famille femmes fiction fiducie fraude fréquences féminisation Grande Invocation guerre spirituelle impôt intelligence joie Logos Lumière magie Mal mantra métiers OPPT paix pape pouvoir prière responsabilité s'affranchir se libérer sexualité travail tribunaux unité victime vol âme éveil spirituel

Articles récents

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer