Ne pas nuire à autrui.

Humain souverain

Etre libre et souverain, sortir de la matrice, avoir les bonnes infos

Les trois niveaux de droit applicables en salle d’audience

Cet article fait suite aux deux précédents. L’article de mai reprenait les fondamentaux constituant le socle de la « justice » actuelle, le droit canonique. L’article de juin se focalisait sur le rôle des magistrats et du barreau dans la salle d’audience. Les deux avaient en commun d’essayer d’atteindre une meilleure compréhension de la fraude de l’acte de naissance et de comment une bulle papale instituant une fiducie se traduisait dans notre quotidien.

A ce stade, on réalise pleinement qu’il faut savoir exercer sa souveraineté si l’on est appelé à se tenir dans une salle d’audience. Il est possible de jouer le jeu des magistrats et de céder à la peur, ce qu’ils comptent obtenir de nous, mais il existe désormais une seconde option qui est celle de l’exercice de son pouvoir.

Avant de poursuivre, il faut néanmoins se souvenir que la fraude de l’acte de naissance ne se limite pas à la salle d’audience. Si l’on se fait arrêter pour excès de vitesse, l’agent de police va réclamer un nom, une carte d’identité. Le nom qu’il demande est celui de la fiducie CQV. Si vous lui fournissez, vous signifiez que vous donnez votre accord pour déclencher la fiction légale, c’est-à-dire le fait que vous n’êtes pas vous-même mais l’entreprise créée à votre naissance au même nom que le vôtre (pour les explications, se référer aux articles de mai et juin). Il se passe la même chose si vous fournissez une carte d’identité : la carte d’identité est un document appartenant à l’Etat et prouve que vous êtes un esclave, une entité fictive (patronyme en lettres capitales). Il existe aujourd’hui des vidéos en ligne dans lesquelles des personnes se sont filmées en situation face à un agent de police à qui elles refusent de fournir leur identité (celle-ci par exemple, en anglais).

Les suspensions d’audience

Lorsque vous dissolvez la fiducie CQV en récupérant vos droits, il se peut que le juge décide de sortir de la salle d’audience et de revenir presque immédiatement. Que cela signifie-t-il (il est également possible de visionner des vidéos en ligne de ces allées et venues) ?

Sa sortie et son retour signifient qu’il change de registre de droit. Il ne vous expliquera rien. Il le fera en silence.

La première audience relevait du droit commercial (UCC)* et la peine pouvait être une amende. C’était la situation imaginée dans l’article du mois dernier.

Le juge est sorti et revenu sans mot dire.

Désormais, l’audience relève du droit maritime* et la peine peut être la prison. La prison n’est rien d’autre qu’un entrepôt où est déposée la marchandise. Selon cette fraude de l’acte de naissance, vous êtes une marchandise.

Si le manège se répète encore une fois, l’audience relève du droit canonique*. C’est à ce niveau-là que le juge devient prêtre de Baal et peut condamner à mort.

Si l’audience est ajournée au lieu d’être suspendue, il n’y a pas de changement de registre de droit et le procès reste dans la même juridiction.

*à vérifier et à confirmer ou infirmer à l’avenir au fur et à mesure de la poursuite de mes recherches ; selon les sources, on trouve diverses versions.

Formules

Une des maximes juridiques fondatrices est :

Quiconque n’établit pas ses droits n’en a aucun.

Autrement dit, si vous comparaissez devant une cour, vous devez revendiquer vos droits d’être entendu, votre statut d’être humain et bénéficiaire de la fiducie.

Pour ce faire, une formule à prononcer peut être la suivante :

Votre honneur, je suis un être humain, la chair vit, le sang coule et je demande humblement un recours.

La raison pour cela est que selon la fiducie, vous êtes « perdu en mer », vous êtes « mort » puisque vous n’avez pas revendiqué votre acte de naissance avant l’âge de 7 ans. Vous devez donc rappeler que vous êtes toujours vivant.

Le juge ne voudra vraisemblablement pas accorder de recours (remedy). S’il sort et revient, il continuera comme si rien ne s’était passé. Il faut donc réitérer :

Votre honneur, je souhaite réaffirmer que je suis un être humain, la chair vit, le sang coule et je demande humblement soins et salaires.

Les soins et salaires (maintenance and cure) sont les compensations que touche un marin blessé ou malade en mer. Le juge peut ressortir et revenir une seconde fois. S’il le fait et semble décidé à vous piéger, la formule à prononcer pourrait ressembler à ceci :

Votre honneur, je souhaite établir que je suis un être humain, la chair vit, le sang coule, je suis souverain et rien ne s’interpose entre moi-même et le divin.

Par ces formules simples, vous mettez fin au jeu qui se déroule contre vous. Rien ne vous oblige à accepter les suspensions d’audience successives et à vous y soumettre. C’est le véritable pouvoir que vous avez.

Il ne faut pas oublier la puissance de la voix. Dans le Nouveau Testament, l’Evangile de St Jean commence par ces mots :

Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu.

(Jean 1:1)

Ce verset est crucial et applicable dans tous les domaines de la vie. Enoncer, c’est créer.

La salle d’audience, reproduction du Tabernacle

Toutes les salles d’audience du monde se ressemblent même si elles présentent des différences. Si l’on observe bien, il est possible de reconnaître une reconstitution du Tabernacle des Hébreux, futur modèle des deux Temples érigés à Jérusalem par le roi Salomon puis par Zorobabel, tel que représenté sur la photo ci-dessous.

Le siège du juge (ou prêtre) représente le Saint des Saints (Holy of Holies).

D’un côté, on trouve l’autel des sacrifices (Altar of Sacrifice) pour la partie civile et le procureur, et de l’autre la table des pains de proposition (Altar of Showbread) pour la défense et le box des accusés (inversés dans certains tribunaux anglo-saxons). Entre les deux se trouve l’autel des parfums (Table of Incense).

Ensuite, plus « bas », on trouve le barreau (Bar), le lieu saint, puis l’espace réservé aux non-juifs (Gentiles), c’est-à-dire le public (le parvis du Temple).

Il est utile de rappeler que la secte romaine à l’origine de la fondation du Vatican est étroitement liée à la secte babylonienne, elle-même étroitement liée à la secte rabbinique talmudique. Selon certaines sources, la religion romaine dite « chrétienne » (terme à débattre) est la religion juive pour les non-juifs, ce qui expliquerait cette proximité entre les salles d’audience occidentales et le tabernacle hébraïque.

PS : depuis la rédaction de l’article détaillant les bulles papales de mai, j’ai appris que leurs reproductions trouvables en ligne ne seraient pas celles des authentiques bulles car celles-ci auraient été rédigées sur des… peaux d’enfants et demeurent cachées à ce jour. A prouver, mais cela n’aurait rien d’étonnant vu le lien de cette secte au dieu Baal, friand de sacrifices d’enfants.


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