Dans un souci de mieux comprendre ce qui suit, il est recommandé de lire les trois articles précédents de mai, juin et juillet. Le concept de compétence a été introduit dans l’article de mai et dans celui de juin et cet article-ci l’approfondit afin d’expliquer en détail à quoi il fait réellement référence. C’est le moment où chacun va s’apercevoir que le droit est indissociable du divin et de l’âme et fondamentalement d’ordre ecclésiastique. En fait, c’est maintenant que les choses commencent à devenir intéressantes pour celui et celle qui souhaite exercer sa souveraineté pleine et entière et pour de vrai.
Lorsque vous faites face à un problème (délit, crime), vous avez le choix du statut à partir duquel vous opérez. La majorité des individus sur cette planète sont actuellement emprisonnés dans un niveau de conscience qui les poussera à choisir le statut de victime et c’est précisément ce que les auteurs de la fraude de l’acte de naissance veulent. Néanmoins, vous pouvez choisir d’être responsable et compétent grâce à vos propres actions.
Si vous choisissez de faire appel à un avocat, vous vous placez en position de victime et vous renoncez automatiquement à votre compétence. L’avocat est un des membres de cette fraude de l’acte de naissance qu’il le sache ou non. Dans son esprit, et c’est tout à son honneur bien sûr, il est là pour rendre service et aider mais sa formation ne l’a pas initié aux connaissances présentées dans ces articles qui sont occultées, comme cela a été dit dans l’article de juin. Les juristes sont les premiers à qui on a menti ! En faisant appel à un avocat, vous êtes déclassé au rôle de pupille de l’Etat, indiquant par là que vous n’êtes pas capable, compétent donc, de gérer vos biens. Dans le cadre de la fiducie Cestui Que Vie (étudiée dans les articles de mai, juin et juillet), vous êtes « perdu en mer » donc « mort ». Un mort ne peut pas être compétent.
Qui êtes-vous ?
Le cœur et la clé de toute cette histoire est de savoir qui vous êtes. Ce n’est qu’une fois que vous aurez compris cela que vous comprendrez le reste : vous êtes une personne divine, vous faites partie du Principe créateur divin.
Votre aspect divin, votre esprit est toujours compétent ; votre âme, votre essence, la partie immortelle de votre être est toujours compétente.
Votre personne de chair et de mental*, en revanche, n’est pas toujours compétente. Elle l’est parfois et parfois, elle ne l’est pas. Cela vous est arrivé d’être trompé, trahi, anxieux parce que vous avez fait confiance à quelqu’un indigne de confiance etc. Cela arrive à tout le monde de se faire avoir. En fait, c’est cette personne de chair et de mental que le système romain compte bien piéger et manipuler : le but de ce système est de vous convaincre que vous êtes mortel, dépourvu de Lumière divine et par conséquent moins que ce que vous êtes.
(*le mot « mental » ici est utilisé par opposition au cœur qui lui est relié à la sagesse intérieure, à l’intuition, à la partie infinie de l’individu ; le mental par contre dans sa vibration inférieure est lié à l’ego et est le plus souvent la partie de l’être humain qui le dévoie. Bien noter qu’il ne s’agit pas d’une diabolisation du mental mais d’une simple distinction.)
Qu’est-ce que la compétence ?
La compétence est le fait de connaître des informations et de savoir les appliquer.
Elle consiste à savoir penser logiquement et à argumenter avec habileté et en faisant bon usage de la raison et des connaissances dont on dispose, y compris en termes de langage, de grammaire et de rhétorique.
Un individu ne sachant pas faire bon usage de sa raison et de ses connaissances ou refusant de s’en servir ne peut prétendre faire preuve de compétence.
La compétence renvoie également au statut de quelqu’un détenant une autorité et des qualifications dans les limites d’un secteur spécifique.
Dans la mesure où l’âme est toujours compétente, on peut avancer que la compétence en droit est une notion fictive inventée pour les besoins de la fraude.
Compétence primordiale : savoir qui l’on est
Une fois que l’on sait qui l’on est, la première compétence dont on doit faire preuve est celle de le faire valoir : c’est ici que convergent et se rencontrent les deux paragraphes précédents et c’est tout à fait pertinent lorsque l’on se tient dans une salle d’audience ! On a tendance à oublier, lorsque l’on parle de droit, qu’il s’agit du domaine ecclésiastique.
Vous êtes donc un être spirituel (du mot « esprit ») s’exprimant dans la matière, la chair (bon à savoir pour résister à tout prix aux injections géniques qui cherchent à séparer l’humain de son âme, empêchant ainsi son ascension) :
Votre corps : vous n’êtes pas un simple animal. Vous êtes membre de l’espèce homo sapiens, le mot sapiens provenant du latin et signifiant « sage » donc littéralement « humain détenteur de sagesse ». Votre ADN est encodé et contient la Lumière divine au niveau quantique.
Votre esprit : il vous permet de discerner entre ce qui est authentique et inauthentique, vrai ou faux. Il ne s’agit pas uniquement de savoir lire et compter, d’acquérir des techniques et d’exécuter des tâches (pour gagner de l’argent – vénérer l’argent est une preuve patente d’incompétence : l’Œil omniscient de Lucifer, Oculus Omni, symbole de l’empereur romain de 71 à 117 de notre ère présent sur les billets états-uniens en est la preuve, il signifie que votre dieu est l’argent, ce qui est une preuve patente d’incompétence puisque le symbolisme est sous votre nez). Votre esprit est l’ensemble de vos intelligences intellectuelle, émotionnelle, sensitive, intuitive et spirituelle inséparables.
Votre âme : vous êtes un être immortel ; c’est pour cela que vos idées, vos pensées et vos croyances sont les plus grandes forces dans l’univers.
Doté de cette tripartite, vous êtes à vous tout seul un tribunal.
Ce qui nous amène à devoir définir ce qu’est l’univers : c’est une construction, un rêve, la vie. Ceci était su des civilisations anciennes qui ont peuplé cette planète (en Atlantide entre autres ou la spiritualité onirique des Aborigènes d’Australie).
L’univers réagit au libre arbitre. Il n’est ni bon ni mauvais, il est neutre, tout comme la vie est neutre d’où qu’il est essentiel de choisir des pensées et des croyances qui la soutiennent, grâce à son libre arbitre, pour la maintenir (les pensées et les croyances majoritaires des humains actuellement vont contre la vie – car il n’y a pas de vie sans liberté – et sont en train de la détruire, c’est pourquoi un éveil spirituel est nécessaire et en train de se produire, il inversera la tendance auto-destructrice que l’humanité avait choisie et la ligne temporelle de l’auto-annihilation ; la Seconde Guerre mondiale ayant été un point de séparation à la suite duquel les êtres au service de la Lumière ont réagi et de nombreuses semences d’étoile ont été envoyées avec la mission de sauver l’humanité : Blue Rays, Indigos, Crystals etc.).
En tant qu’âme, vous faites partie d’une conscience collective unique. Vous êtes donc la personnification du Principe créateur.
Exercer sa compétence
Allez-vous consacrer votre compétence à la chair, à la matière, à la matrice automatisée et détraquée et autoriser le terrorisme, la guerre et la tyrannie, ou à votre libre arbitre et choisir la vie, la liberté, la souveraineté et l’ascension en participant à la rédemption de l’humanité ?
Allez-vous vous déshonorer vis-à-vis du divin et être un pion sur l’échiquier des élites ou allez-vous affronter vos démons et cesser d’accomplir leur volonté ?
Allez-vous vous réveiller ou rester là à dormir pendant que d’autres tentent de récupérer le coup et de sauver le navire (sans vouloir faire de jeu de mots) ?
Allez-vous réussir ou échouer à l’examen de la compétence ?
Souvenez-vous que ne pas choisir, c’est choisir. Vous ne pouvez pas ne pas choisir car le libre arbitre (le choix) est inscrit dans votre constitution spirituelle et génétique : vous êtes responsable et ne pouvez pas échapper à cette responsabilité. La victime est juste un parasite qui « refourgue » sa responsabilité à quelqu’un d’autre mais il y a toujours une responsabilité quelque part à assumer.
Assumer ses responsabilités, petites et grandes, est le gage d’un être libre et la condition sine qua non pour maintenir la liberté, la souveraineté et donc la vie sur Terre.
Les élites le savent et l’annoncent publiquement (élections truquées ainsi que de nombreux films comme Matrix par exemple). A terme, l’ignorance, la paresse et l’apathie ne serviront d’excuse à personne.
Photo de Nilina sur Pexels.com
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Humain souverain 
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